Le gouvernement Harper se prépare à ouvrir les portes aux entreprises chinoises.

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Le 26 septembre dernier, Stephen Harper déposait discrètement à la Chambre des communes l’Accord de promotion et de protection des investissements étrangers Canada-Chine.  Il s’agit du plus important traité de libre-échange signé par le Canada depuis l’ALÉNA, en 1992, et les conservateurs n’ont même pas daigné le soumettre à débat parlementaire ni au vote des députés.

Encore une fois, les conservateurs agissent en catimini pour adopter un accord qui donnera aux entreprises chinoises le privilège de contester devant un tribunal indépendant (composé de trois arbitres)  les éventuels changements aux lois canadiennes qui limiteraient leurs activités, échappant ainsi au système juridique canadien.

Lire la suite du texte publié sur GaïaPresse par Laurence Brière, doctorante en sciences de l’environnement, au Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté à l’Université du Québec à Montréal.

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