De nouvelles alertes
Le cinquième bilan quinquennal de l’état de la planète du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) sonne une fois de plus l’alarme :
« Si l’humanité ne modifie pas d’urgence ses façons de faire, plusieurs seuils critiques vont être franchis, au-delà desquels des changements abrupts et généralement irréversibles pour les fonctions de base de la vie sur Terre pourraient se produire. »
Lire un compte rendu dans Le Devoir et dans La Presse.
D’autre part, dans la revue scientifique Nature, un groupe de chercheur avertit qu’un point de non-retour pourrait être atteint d’ici 100 ans. Le changement climatique, la croissance de la population mondiale et les dégâts causés à l’environnement pourraient mener à l’effondrement de l’écosystème de notre planète en quelques générations. Lire l’article publié dans La Presse ainsi que celui de l’université de Berkeley.
Et pendant ce temps, Stephen Harper entend couper le financement aux groupes écologistes qui s’opposent à sa vision du Canada : « Les fonds publics n’ont pas à financer des organismes qui s’opposent aux politiques du gouvernement ».